Tuesday, December 28, 2010

Médias et communication.

Travail dans le cadre de mon cours de français en médias et communication! Épreuve finale s'y référant à l'oeuvre : Promets-moi que tu reviendras vivant par Danielle Laurin. Quelques extraits que j'ai trouvé particulièrement intéressants.


« – Vous vous souvenez du photographe sud-africain qui a fait la photo d’une petite fille dans un camp de réfugiés? On la voit, elle est en train de mourir, elle est toute petite, toute maigre, et il y a un vautour qui la guette… «Vautour guettant une petite fille en train de mourir de faim». C’est le titre de la photo. Prise en 1993, au Soudan. Par Kevin Carter – Le type a pris sa photo, et il est parti, il est rentré chez lui. La photo a fait le tour du monde. Elle a valu au photographe un prix Pulitzer, en 1994. – Il s’est fait traiter d’ordure. On a dit : il y a un deuxième vautour, c’est le photographe. On n’a jamais eu de nouvelles de la petite fille. Kevin Carter, lui, a fini par se suicider, le 27 juillet 1994. – Comment réagir face à cette horreur? Qu’est-ce qu’on fait, est-ce qu’il faut faire quelque chose? On est toujours confronté à ça, sur le terrain. » p.29, chapitre 2


J’aurais bien pu choisir un autre extrait qui démontre le questionnement sur le rôle et le devoir du journaliste de guerre étant donné que plusieurs de ces journalistes interviewés sont allés au-delà du témoignage. En effet, ils se sont impliqués sur le terrain. Cet extrait soulève parfaitement cette question. L’image de cette petite fille en train de mourir sous les yeux du vautour affamé et sans pitié est une chose. Kevin Carter, le photographe qui a pris cette photo en 1993 au Soudan en est une autre. La photo nous rappelle a quel point ce pays est défavorisé. Les gens meurent non seulement de la guerre mais aussi de famine. Nous constatons ainsi toute la chance que nous avons d’être ici, en Occident. Elle soulève tous en nous, journaliste ou non, un désir de changer quelque chose dans ce monde. D’un autre côté, on se demande : Qui pourrait bien être aussi monstrueux au point de prendre cette photo et de quitter sans prendre cette petite fille sous son aile? Ou de simplement chasser ce vautour? Est-ce mal de n’obéir qu’aux ordres? On se questionne en bout de ligne sur l’humanité de l’homme.


«Elle a tenté l’expérience une fois, avec l’armée russe, et n’a pas récidivé. – Les nations qui ont des soldats sur place, en Irak ou en Afghanistan, ont davantage de couverture médiatique, mais cela ne veut pas dire que cette couverture médiatique apprend davantage aux opinions publiques de ces pays ce qui se passe en réalité sur le terrain. L’objectivité journalistique? Foutaise. Une convention des écoles de journalisme, selon elle. – On n’est pas objectif parce qu’on donne le point de vue des hauts gradés militaires dans un paragraphe, puis, dans le paragraphe suivant, celui des civils victimes des bombardements. Elle revendique tout autant le droit à la lenteur, à la complexité, que le droit à la subjectivité. – Ce sont mes yeux qui voient. Je n’ai pas la prétention de tout voir, je ne peux pas tout voir, mais ce que j’ai vu, je le décris avec minutie, avec détail, avec nuance, avec assez de nuance, je crois pour que mon lecteur puisse faire sa propre idée.» p.139, chapitre 11

J’ai choisi cet extrait parce qu’il traite de la subjectivité dans le journalisme et par le fait même, l’importance d’être sur les lieux lors d’une guerre. On a souvent tendance à croire que l’objectivité donne de la crédibilité et de la fiabilité dans peu importe l’information donnée. Ici, on refuse de correspondre au moule étanche de ce qu’impose l’école de journalisme. On va au-delà de ce qui est établit en y mettant notre touche. Il faut faire place à la subjectivité et décrire les évènements de notre point de vue. Par la suite, Anne Nivat parle de nuances. Or, pour nuancer, il faut voir de ses propres yeux. Pourquoi commenter les évènements des mois après alors qu’on peut le faire le jour même? On ne parle pas ici de la soif pure d’exclusivité des médias. Les journalistes veulent faire part de ce qu’ils ont vu pour que les lecteurs soient à 100% conscient de ce qu’il se passe, d’où l’importance de la subjectivité dans le journalisme. Cependant, ils ne le sauront jamais autant que le peuple survivant, les soldats et à la limite, les journalistes de guerre, qui ont vécu ces guerres.


Il a aussi fallu que je dresse un portrait de deux reporters de guerre. Les voici.


À 51 ans, Céline Galipeau est la première femme à occuper le poste de chef d’antenne à la télévision canadienne, plus précisément sur les ondes de Radio-Canada. Fille du grand journaliste et diplomate Georges Galipeau, on pouvait dire que Céline Galipeau a le journalisme dans le sang depuis qu’elle était toute petite. Elle a étudié les sciences politiques en Cisjordanie et la littérature anglaise en Jordanie pour terminer ses études en sciences politiques et en sociologie à UQAM et à l’Université de Mcgill.
Céline Galipeau trouve un poste de remplacement à Toronto et postule pour être correspondante à l’étranger. Elle obtint un poste à Londres, Paris, Moscou et Pékin. Cependant, elle quittait rapidement les lieux lorsqu’un évènement était sur le point d’éclaté. Cela ne l’empêche pas de poursuivre et couvrir la guerre du Golfe, les guerres civiles en Algérie, au Kosovo, en Tchétchénie et en Afghanistan. En 2003, elle part en Irak pour rapidement se faire rapatrier à Montréal à contrecœur mais décide par la suite d’y retourner. Les conditions étaient très difficiles. Éprouvant non seulement physiquement mais psychologiquement aussi.
Pour elle, ce n’est pas la guerre en tant que telle qui l’intéresse mais plutôt les répercussions de la guerre sur les gens. Elle conçoit ce métier comme un métier d’homme, car selon elle, nous vivons dans un monde d’hommes. Cela n’a lui a pas pris plusieurs voyages pour réaliser que les femmes n’ont pas leur place dans ces pays étrangers. Cette réalité évoque donc en elle une responsabilité vis-à-vis ces femmes afin qu’elles puissent espérer mieux. Cette inégalité la mène donc à faire plusieurs reportages sur les conditions des femmes. Ces dernières sont non seulement victimes de violence et de soumission mais doivent aussi pleurer la mort de leur mari et leurs enfants.


Anne Nivat est docteur en sciences politiques et spécialiste de la Russie. Elle devient en 1998 correspondante à Moscou, où elle y habitait officiellement, pour des titres de presses tels que Libération, Ouest-France, Le soir, Le point, le radio RMC et pour des journaux anglo-saxons tels que New York Times, USA Today et Washington Post. On a pu l’entendre à la radio de Radio-Canada couvrir la guerre d’Irak, de l’Afghanistan, du Pakistan, de l’Algérie et la guerre de Tchétchénie de 1999 et dont elle est restée neuf mois. Elle débute sa carrière littéraire en publiant Chienne de guerre qui lui vaut le prix d’Albert Londres. Elle publie par la suite Algérienne, Lendemains de guerre en Afghanistan et en Irak pour lequel elle reçoit le prix littéraire de l’armée de terre, Islamistes, comment ils nous voient et Par les monts et les plaines d’Asie Centrale. Enfin, en 2008, elle publie Bagdad, Zone Rouge.
Ce qui différencie Anne Nivat des autres reporters de guerre, c’est qu’elle est auteure avant tout. Elle veut montrer que la guerre existe. Elle veut témoigner de l’histoire des hommes et des femmes de la guerre grâce à sa plume. Graver ainsi dans des livres, les gens ne pourront plus oublier, ne pourront plus nier ce qui se passe réellement.
À travers ses périples, elle a su s’adapter à toutes les conditions possibles. Elle a su prendre le temps de s’intégrer à la population afin de soutirer le plus d’informations possibles. Elle ne jure que par la lenteur et la complexité des choses. Elle soutient que pour raconter des histoires, il faut les vivre. Et pour les vivre, ça prend du temps. Anne Nivat fait preuve de respect en agissant ainsi. Elle ne fait pas que soutirer des réponses. Ces réponses sont les «réponses les plus sincères, plus honnêtes, les plus détaillées, plus nuancées» (p.139, 2e parag. 3e ligne) qu’elles soient.
Enfin, elle veut se battre contre l’indifférence en informant les lecteurs à l’aide des médias et des ses œuvres de ce qui se passe en dehors de leur petite vie afin qu’ils ne s’étonnent plus si un drame similaire à l’attentat du 11 septembre se reproduisait.


D’après l’essai de Danielle Laurin, être un bon reporter de guerre, c’est posséder des qualités dépendantes les unes des autres. C’est tout d’abord d’être passionné pour son travail. Un bon reporter doit profondément croire que son travail sert et servira à quelque chose. Il faut qu’il croit qu’il est important d’informer le public des évènements qui se passent. On ne s’en sort pas. Cependant, ce qui va réellement différencier un reporter de guerre d’un autre sont les qualités suivantes : humanité, sensibilité, respect, courage, détermination et convictions profondes, tout en se connaissant assez pour prendre ses distances au bon moment pour ne pas perdre la carte et se culpabiliser face à certains évènements qui peuvent être très éprouvants. Toutes ces qualités font en sorte que ces reporters de guerre puissent obtenir les informations les plus vraies et les plus profondes qu’ils soient. Le bon reporter de guerre voit non seulement un pays en guerre, mais aussi les répercussions d’une guerre dans la population et comment cette dernière la vit.
Suite à la lecture de cet ouvrage, ma perception d’un reporter de guerre a changé. En fait, je ne me suis jamais demandé ce qu’un reporter de guerre pouvait bien vivre sur le terrain. Évidemment, il n’est plaisant pour personne de voir des horreurs en guerre. Cet essai m’a plutôt permis de savoir et de comprendre ce qu’ils pouvaient ressentir. Ce n’est pas seulement de griffonner des notes sur un calepin, c’est de ressentir le besoin d’aider ces pays en guerre, ce sentiment d’impuissance, le besoin de raisonner et conscientiser les pays occidentaux.
Enfin, je recommanderais grandement ce livre malgré le titre beaucoup trop dramatique. Étrangement, ce qui m’a plu davantage dans cet ouvrage est le côté sombre de l’avenir humain. (D’après un proverbe, «L’Humain se nourrit du malheur d’autrui». C’est un peu vrai.) D’une autre part, c’est la capacité de Danielle Laurin à toucher de fond en comble les nombreux aspects du reportage de guerre à travers des entrevues avec des reporters de guerre. Et principalement, l’association qu’elle se fait d’elle-même avec une «femme soldat».

Tentative manquée d'écriture automatique.

Dans le cadre de mon ancien cours de français! Vraiment pas évident! Je me rappelle que c'était mon premier cours de français et ma professeure était vraiment spéciale! Tough on the edges but turned out to be an awesome teacher. There you go!

J'allais acheter mon hippocampe quand j'avalai un autobus de travers,
ça faisait mal comme choux-fleur dans un broyeur petit, gros, grand, énorme,
gigantesque, peu importe, car le singe n'était pas content. Au moins, il mange des
bananes lui, ça glisse gauche, droite, gauche, droite, gauche, gauche (...) gauche!
et on demande une plus grande ouverture d'esprit? Eh bien ouvre tes pensées, tes yeux,
tes mains, ta bouche, tes jambes, tes fenêtres et arrache ton cadre de porte à cause de
l'araignée poilu aux larges sourcils noirs que tu as rencontré dans les plaines azures du summum.
Tu t'es fait avoir par le grand-père aux caramels roses cantaloup étoile de mer
et ses acolytes grumeleux vacillent sur le sable fin et chassent le soleil
fuyard afin de découvrir ses vraies couleurs de papillon zélé !

Essays.

Ceci est une rédaction qui a pour sujet la comparaison entre le naturalisme et le rationnalisme dans le cadre de mon ancien cours de philosophie qui j'ai affiché sur facebook aussi le 10 janvier 2009. J'ai eu une bonne note pour celle la d'ailleurs, hihi :)

La spécificité de l’homme...

Tout d’abord, le Rationnalisme supporte les deux théories dualistes. La première est l’interactionnisme. Elle affirme que l’être humain est à la fois une âme et un corps qui interagissent continuellement. Quant à la deuxième, c’est le parallélisme, c’est à dire que l’être humain est à la fois une âme et un corps mais on y retrouve aucune interactions. En ce qui concerne le Naturalisme, ce dernier supporte les deux théories monistes : le physicalisme, qui soutient que l’ëtre humain n’est qu’un corps et le spiritualisme, qui soutient que l’être humain n’est qu’une âme, un esprit, etc. Bref, les naturalistes ne croient pas que l’Homme puisse être une âme et un corps à la fois comme le soutiennent les rationnalistes. L’homme n’est qu’une seule chose. Ensuite, on a, à plusieurs reprises, tenté de distinguer l’homme de l’animal et nous en sommes venus à la conclusion que l’homme est supérieur aux autres êtres vivants. Il est possible de retrouver cette affirmation dans ces deux conceptions de l’être humain. Cependant, leurs raisons ne sont pas les mêmes. Pour les rationnalistes, l’homme est supérieur, car il possède la faculté de la raison et elle lui permet de se perfectionner en le libérant de ses instincts (comportements animals) et de sa dépendance envers son milieu. De plus, l’homme utilise le langage afin de produire des discours pour exprimer sa pensée. Cette capacité est dûe à la raison, ce que l’animal ne possède pas. L’animal est en quelque sorte « programmé » et ne peut pas apporter de nouvelles réponses. Pour les naturalistes, l’homme est supérieur à l’animal parce qu’il a un cerveau bien plus développé. Il utilise la parole pour communiquer et raisonner. Cela est possible grâce à ses capacités cérébrales. Il possède aussi une conscience réfléchie qui est dûe à plusieurs facteurs, la station debout, le développement de l’encéphale et la libération de la main. Enfin, selon les naturalistes, ce qui détermine que l’homme est supérieur à l’animal est, avant même la raison, la spécificité de son cerveau.

Sous l’angle de la spécifité de l’homme, la conception rationnaliste l’emporte. Je m’oppose fortement au monisme. Selon le Naturalisme, il n’y a aucune différence entre un corps mort et un corps vivant, ce qui me semble absurde. Prenons l’exemple du camion et du camionneur. Que serait le véhicule sans le camionneur (et vice versa)? Pas grand chose. Le camionneur permet l’activation du moteur. On en conclu que c’est la composition des deux éléments qui forme un tout. Il en est de même pour l’âme et le corps. Leur présence est nécessaire afin de définir l’homme.


La liberté humaine....

On retrouve deux grandes orientations en ce qui concerne la liberté. Premièrement, selon le déterminisme de la conception rationaliste, l’homme est soumis aux lois qui régissent le monde et il doit vivre en conformité avec elles. Agir de façon à respecter la nature lui apportera la paix dans l’âme. La raison lui permet de découvrir la nécessité, l’ordre naturel des choses et de l’accepter volontairement. Le déterminisme maîtrise donc nos dépendances. Deuxièmement, la raison permet à l’homme d’être autonome (autodétermination). Être libre, c’est être capable d’agir sur son milieu de manière à le transformer afin qu’il soit plus habitable par les connaissances qu’il à acquit sur lui-même et le monde. La raison lui permet de façonner son milieu humain et de devenir son propre maître. Afin d’être libre, il faut affirmer son humanité. Agir selon son instinct animal, ses pulsions et sa passion n’est pas affirmer son humanité. Il faut donc faire en sorte que la maxime de nos actions puisse devenir une loi universelle. Bref, c’est la raison qui permet d’échapper aux dépendances. Dans les deux cas, les dépendances sont nuisibles à la liberté humaine. Or, le Naturalisme affirme que l’on ne peut concevoir l’autonomie sans dépendance. Le développement de l’autonomie dépend de la qualité des connaissances, des techniques et des institutions que la société et la culture mettent à la disposition de l’être humain. Plus l’homme développe sa complexité, plus il pourra développer son autonomie, plus il aura de dépendances. Ses dépendances sont modifiables. C’est ainsi que l’on aborde l’auto-organisation. Un être qui n’est que le résultat des influences extérieures est nécessairement un objet, car il n’aura eut aucune prise. Si la capacité d’auto-organisation est assez développé, l’humain peut devenir sujet qui se détermine en partie lui-même et pourra donc prétendre être libre. La différence entre ces deux conceptions est donc que les rationalistes affirment que les dépendances sont nuisibles à la liberté tandis que les naturalistes affirment le contraire, c'est-à-dire, utiles. ....

D’après les informations données, on peut remarquer aussi que la notion d’autonomie est présente chez les deux conceptions. Les connaissances, les techniques et les institutions que la société et la culture mettent à la disposition de l’humain engendre son autonomie. L’homme est soumis aux lois régissant l’univers physiques. Cependant, c’est en connaissant ces lois et en les utilisant à son avantage que l’humain soit possible de s’adapter en modifiant son habitat naturel et en transformant les conditions de son environnement social et culturel. ....

Sous l’angle de la liberté humaine, j’approuve la conception naturaliste en ce qui concerne les dépendances. Ces dernières sont importantes au développement humain, sur le plan social, économique et politique. La passion et les désirs ont permis à l’homme de se rendre au plus haut des sommets. Grâce aux connaissances acquises et à l’aide de la passion et des désirs, ils ont donné accès à une plus grande vision du monde, une liberté. En effet, l’homme en demande plus sur le plan scientifique, technologique, culturel et autres pour transformer son monde à sa manière, car oui, l’être humain est autonome. C’est ce qui fait toute la différence et donne une certaine liberté.


Sociabilité de l’homme....

Chez les deux conceptions de l’être humain, on retrouve que le langage permet la vie en communauté. En effet, c’est avec cet outil précieux qu’il peut exprimer ses connaissances et sa perception du bien et du mal, de l’utile et de l’inutile. Les individus se rassembleront afin de mettre en commun leurs connaissances et leurs expériences individuelles. Il est possible d’observer une transition de l’individuel au collectif. Cela a pour but de pouvoir vivre harmonieusement entre eux, de satifaire leurs besoins et de procurer une protection mutuelle. Lorsque l’homme utilise la parole afin d’exprimer ses connaissances et ses diverses perceptions des choses, cela se traduirait aussi par la transmission de la culture. Ce dernier est puisuivit par les naturalistes. Puisque très peu de choses en l’homme sont inées, il assimilera les informations transmises par son entourage, les améliora et les partagera avec les autres. Enfin, l’homme crée la société et en retour, la société ne cesse de le créer (dynamisme).

Malgré cela, encore une fois, on retrouve une grande opposition entre le Rationalisme et le Naturalisme. Voici la situation. Les rationalistes soutiennent qu’en agissant selon la raison, les êtres humains s’accordent nécessairement entre eux et vivent en harmonie avec la nature. Nos passions et nos intérêts personnels (qui peuvent mener à la violence et à l’injustice) opposent les humain et peuvent mettre en péril la communauté. Ceux-ci sont donc des obstacles à la vie en communauté. N’oublions pas que les rationalistes supportent la théorie dualiste. On retrouve chez l’homme la raison qui doit dominer l’affectivité. Certains iront jusqu’à dire que le corps est un obstacle, que le corps est une source de passions, car il ne nous permet pas de penser rationnellement et de discerner la vérité. Contrairement au Rationalisme, le Naturalisme volorise complètement le corps humain. Sans l’apparition de la station debout, du développement de l’encéphale et de la libération de la main, la conscience réfléchie n’aurait pas pu se développer et aucun échange d’expériences et de connaissances (etc) ne seraient possibles. C’est grâce à l’organisation biochimique et spatiale d’ensemble de nombreux groupes de neurones qui permettent le langage, la conscience et la pensée. Chez les naturalistes, ceux-ci sont de base matérielle. On en conclut donc que la différence est que Rationalisme soit en opposition à ce le corps favorise la sociabilité de l’homme, tel que le supportent les naturalistes.

Sous l’angle de la sociabilité de l’homme, la naturalisme possède un bon argument. Si l’on résume la pensé rationaliste, le corps est un obstacle à la vie en société. Serait-il donc possible de concevoir une société que d’esprit? Le corps ne peut être un obstacle à la sociabilité, car c’est les fonctions cérébrales (le matériel) qui permet un discours logique entre les individus. Sans le développement de l’encéphale et des membres du corps, l’innovation et l’échange de connaissances ne seraient pas possible. Le dualisme est peut-être présent mais il est évident que l’âme n’y peut rien sans le corps.


La destinée de l’homme....

Plusieurs dangers guettent l’homme et autant chez le Naturalisme que chez le Rationalisme, ils s’entendent pour dire que l’homme est lui-même à l’origine de ces dangers. Les rationalistes soulignent la guerre, la violence, les rapports de forces et la brimade des droits de la personne encore présentes à notre époque. Ceux-ci sont présents, car l’homme n’écoute pas sa raison. Quant aux naturalistes, le danger qui guette les humains est la surpopulation, toujours enclanché par l’homme. Une surpopulation engendrait des problèmes économiques, socials et politiques, aucune place à la sélection naturelle et une diminution des ressources naturelles au désavantage de la population croissante et exigeante.

Le but de l’homme chez les rationalistes est de devenir ce qu’il est, un être rationnel. L’avenir de l’humanité semble optimiste. Le progrès de la rationalité s’est fait remarqué lors de la Révolution française. Selon Hegel, ce progrès est la réalisation de l’idée de liberté. La raison gouverne le monde, alors l’histoire est rationnelle. Les évènements passés sont la réalisation d’un plan. S’il y a une histoire, c’est à cause des êtres qui ont pu s’affirmer (par passions et buts individuels) dans ce monde dans lequel ils ont créée leurs propres lois. Agir ainsi assure la progression de l’idée de liberté. En ce qui concerne les naturalistes, il est dit que la disparition de l’espèce humaine est incontournable mais il reste que l’être humain est capable d’innovation et d’autotransformation (liberté). Le destin de l’humanité selon la perspective naturaliste est la maîtrise de son propre développement par les connaissances scientifiques et technologiques qu’il mettra en application sur sa vie organique, sociale et psychologique. Et ce, toujours soumis aux lois régissant le monde physique et vivant. Lors du moment de prendre des décisions sur le plan politique, économique et social, il faut s’inspirer d’une représentation de l’être humain et de l’univers qui soit la plus exacte, la plus objective et la plus ouverte possible. Tout cela permet de donner un sens à l’existence humaine et de permettre une vie meilleure pour les générations futures.

Enfin, malgré les différentes formulations du destin, il en revient à dire que le destin de l’homme réside dans la liberté.

Bien que le Rationalisme souligne la violence, la guerre et tous les autres problèmes actuels qui peuvent être listés, le Naturalisme met en évidence un problème encore plus foudroyant. La surpopulation est un problème qui est déjà présent mais le sera encore plus dans les années à venir. Elle englobe même l’idée rationaliste. En effet, la surpopulation aura des répercussions économiques, sociales, politiques et sur notre environnement, celui qui nous permet de faire tant de chose. Le véritable chaos. Sur une chose les deux conceptions semblent s’entendre, c’est à l’homme que revient le devoir de remédier à cette situation.

Essays.

This is an essay I have written years ago for my english class and posted it on Facebook on a Saturday, January 10th, 2009.

Sleeping in bed, eyes tightly closed and I am off to some mystical adventures once again. I personally think that dreaming is a way to escape this often mundane reality. Some people might say they don’t dream. Whether you are young or old, everybody dreams. They probably just forget it. Well, I had a dream that I will never forget.

What a scene! I could feel the sparkling mist between my fingers and the heat of the sun all over my face. ‘’Finally! It is summer!’’ I said to myself. I was roaming in the freshly uncut vivid green herbs. In front of me was the big blue ocean. It was the only moment I really felt free. I shouted and laughed as loud as I could. Childish you might say? No, it was freedom. It was as if nature and I were one.

Suddenly, an enormous tree appeared! It was covered in gold. A swing was attached to one of its branches. Without hesitation, I hopped on it and began to swing higher and higher. I didn’t hang on to the cords tightly because I knew I would be swept away by the wind if I ever fell. Time was passing by and I wondered when I would ever fall from this swing. I spontaneously let go off the cords and jumped. What I expected did not happen. I felt an abnormal force drag me into the ocean. My lungs were screaming and struggling for air to breathe. But my mind was at ease since the only thing that mattered was the pureness of the water. I began to swim deeper and deeper as if I was looking for something, someone... I finally found two young people from the opposite sex sitting on a big rock. They seemed to be talking, but I could not hear a word. All I could figure out is that the boy looked confused and that he was crying. However, no tears were falling from his eyes. ‘’Could this wonderful ocean be the result of his tears?’’ I asked myself. Finally, the girl left him and walked away. He looked pitiful. And so, I walked toward him and tried to comfort him but he pushed me away. I could not help but to feel a blend of uncomfortable emotions inside me. I decided to sit beside him and wait for the girl to come back. As I looked around me, I could see many other people sitting, looking sad and lonely as if they were waiting for something, someone…

It was 5:00 AM as I found myself crying on my bed. I wished I could continue this unusual dream to find out what would have happened to the boy afterwards. I closed my eyes, but I could not remember the face of the boy nor the girl. Until now, I still believe there is a little light of hope for the little boy in my dream.

Clear.

Things have been so hard. However, things have also been clearer to me. That little ray of light through this misty fog. That's how I feel right now. I always had it under my nose, but I now see it through a whole new perception. I believe I know what the future holds for me and it is really hard to compromise at this point.

Sunday, December 19, 2010

My journey through sickness.

Well since my last post, which was 2 weeks or so ago, nothing has really changed.

One week of mad flu and aching back during my exams. One other week where I started feeling a tad better. Hew! Thought it would never end. I made it through my finals just in time! I guess Bouddha, Allah, God, you name it, was just too kind with me for only that short period of time! Next thing you know, Boom! 40oC of fever and coughing my lungs off. And that, for more than a week! Seriously, I don't know if it's because of my lover I had kissed (shoutout to you! love xo) or the number of time I had kissed my niece and nephew (which I remind you, goes to kindergarden) or I had too much people coming over or, or... how many door knobs I had licked (kidding)! In another hand, it can also be the consequence of the the flu I had. So after a week of whining and fever-ing and anything that ends with -ing, also after realizing that even after 4g of tylenol a day wouldn't lower my fever down and that cough syrup wasn't soothing in anyway my throat I had finally decided to go see the doctor. The latter first suspected Pneumonia. To make sure, I had to pass an X-ray and turned out my lungs wasn't too congested to be a pneumonia, so the result : Bronchitis.

According to the Canadian Lung Association...



Bronchitis means swelling in your air passages (bronchi). Bronchi are the air passages that connect your windpipe (trachea) with tiny air sacs (alveoli) in your lungs. The air sacs are where your body absorbs the oxygen you breathe in.

Bronchitis is an inflammation of the bronchi. This inflammation means the walls of your bronchi are swollen and filled with extra sticky mucus. Airflow into and out of your lungs is partly blocked because of the swelling and extra mucus in your bronchi.

Acute bronchitis, swelling in your bronchi, is usually caused by viruses — the same viruses that give you the common cold. The viruses attack the insides of your airways and infect them. Your airways react by getting red and swollen, and by making extra mucus

To prevent bronchitis:

- avoid smoke or smoking
- avoid people who has cold of flu
- wash your hands lovely hands <3

Seriously, through this sickness, I've seen it all from my mucus! From green to yellow, to slighty pink, spots of blood, clear but little foamy, thick, thin, my treat! ... anyways.

I was pretty relieved to finally know the diagnosis. It's bad, but at least I know I can treat it with antibiotics! Hopefully, it will work. It has to work! Christmas is near! :(


I started my treatment yesterday and now, my fever is gone. I also now have a little cup where I can spit in and rinse off instead my wasting all those tissue papers! (Yes, I love tofu spread :3)



I feel wayy better and feels like I haven't felt Okay for a while now! Even with my soar back! The mood is picking up...

I can now get things goin' and get things done. But for now Missy miss needs to sleep and take some rest. Nighty xo

Saturday, December 4, 2010

Neige Niaise.

Une semaine de fièvre intense, de nez coulant, d'irritation nasale, de congestion, de migraine, de maux de dos, de déprime, de toux, de crachats. Pouah! Heureusement, je sens que ca s'en va tranquillement. Je peux finalement commencer à étudier pour mes examens finaux :(

UdeM et Mcgill!! :)

Dilemme.

Oh et on vient de monter de sapin de Noël. Ca fait du bien :)

Saturday, November 27, 2010

Herry returns.

Ouf. Bientôt Noël. Bientôt la fin de session. Fini les stages. Oups! Les examens finaux. Aie Aie Aie! Lorsqu'on est en stage en soins, on n'est la dedans à fond! Mais une fois sortie de la broussaille, c'est un tout autre monde! De retour à la dure (encore plus dure) réalité! Hehe! J'y suis presque, pas question de lâcher maintenant!
Je suis tellement excitée d'avoir terminé mes stages que j'en suis tombée malade! Rhubbee (rhume)! :(
Cependant, même si j'ai bientôt terminé mon programme, je ne sais toujours pas à quelle université aller. Je voulais me rendre à Québec, mais c'est inconcevable pour mes parents. Je ne veux pas aller a l'Université de Montreal étant donné leur différente approche... Alors j'avais donc pensé à l'université de Sherbrooke mais pour ma mère, que de trouble! Je me sens vraiment prise dans une famille de coincés. Je crois que mes parents ont tellement eu une vie difficile qu'ils veulent éviter a tout prix tout ce qui pourrait sembler difficile pour moi, pour eux. (?) C'est comme s'ils me gardaient dans leur petite bulle, loin de l'étranger. Un jour, je me rebellerai! Et puis ce ne sera pas beau à voir! >:(
Sinon, mal de dos en fin de session aussi... verglas, neige, que de bonnes nouvelles non?
Anniversaire à Chateauguay ce soir! Ca me détendra un peu de tout ce stress.

Wednesday, November 24, 2010

Dernière journée.

Oh mon dieu... J'ai pas arrêté de cauchemarder! J'ai rêvé que mon patient a compliqué et qu'il a arrêté de respirer à mon début de quart :( ...

Tuesday, November 23, 2010

Chapeau pointu.

Une brève apparition sur mon blog pour dire qu'il ne reste qu'un jour avant la fin de mon stage!!! Dernière journée demain! :D Il faut que je fête ca! Donc récapitulons. Demain: dernière journée!!! :D Hahaha! Jeudi, présentation de cas clinique de 9h à 13h et puis je suis libre de mes stages! En plus, je suis en amour! :) Bisous xo

Monday, November 22, 2010

So hard.

Damn. Where did I put myself into? I can barely recognize myself... I'm sorry.

Sunday, October 31, 2010

Obstacle.

Yesterday was the first day after the day I talked about my problem to my friend. It was the day where life has thrown me a rock. Difficult because I told myself I would be strong and that my friends would be there for me. Thought I would be able to forget about it by going out with my friends. None of that happened. I stayed all day at home. I don't blame them... even if they told me they will always be there for me through hard times. I guess it will be harder than what I thought it would be. Way harder. I got a long way to go. And that's just the beginning.

Thursday, September 23, 2010

A10-180

Feels like I haven't written any blogs for ages. Things have been pretty... crazy these past few weeks...

First, my summer vacation have been running pretty smoothly (surprisingly). I felt like I have learned a lot and that it will help me be more organized for this third and last year of my program. I also had good comments about nurses I have been working with this summer, this is certainly a great motivation to pursue what I am aiming for! For being so supportive, I would like to show my infinite gratitude to the nurses I have been working with throughout this summer in the Cardiology department of Maisonneuve-Rosemont Hospital. Thank you, you guys have been great, fun, and I really admire how much of yourself you put in this profession.

Summer ends and school starts again. The beggining of the last year... Yes. When you come to think of it, it's pretty scary to know that it will end very soon. A blend of worries, and excitement. I'm almost there. And this semester will surely be not that easy, believe me! I'll be starting my internship next week for two weeks, evening shift. I will then have a break of two weeks before I continue with three more weeks of internship on day shift. Pretty tiring indeed...
Talking about nursing, I have heard that second year nursing students are learning what we, seniors, are learning at the moment. This is something new the program have integrated... I believe this is really great, really. Nurses are so much in demand, that's the least they could do. We need to give them the formation as early as possible, and give them the most autonomy that we can. But that means way much more responsability for them... Will they be able to manage this? I mean, those second year students are even younger than I am... And I remember how crazy it was last year... They should be careful on that... Nothing to reconsider, just becareful...
With that being said, the start of the new semester have been going pretty harsh... my first two exams have been going... hmmmmmmkayy... and I have done another one this morning... Wonder how it will turn out...
My migraines have been horrible these past few days... I have met the doctor and she prescribed be some medication but it doesn't seem to work. No wonder it is to hard to focus on exams with migraines... not to mention my complicated love life... Anyways, I'll cut things short again, I have to get some rest.

Sunday, May 2, 2010

Finals.

So here I am... on a sunday morning... tired because of last night... SUNDAY @__@ (reference to my older post!)

Ugh, these past few days, my back is so sore. Really! I still remember when I did my writing exam and when I finished, I just couldn't stand straight anymore. I actually had to raise my hand to tell the teacher! She felt so sorry, which is not what I wanted... Anyways, when I move, I'm totally fine, but when it comes to sit for considerable hours, I'm done! I should really consider seeing a doctor... Nevertheless, before I started to work, I passed a scan for my back and they couldn't find anything wrong. I really feel bad now that I know that my back is unhealthy... Because in nursing, they keep on saying how our back is important, and that we just have one back that supports us, and just becareful. Well what makes me more upset is the image people can have of me now... You see, I had a little accident years ago, I use to help my dad lift stuff for his work... and I did a bad move. I remember how painfull it was. However, now, I feel like it is ten times worst. I think it followed me until now.

Yesterday night, we had dinner for my brother-in-law's birthday. It was really fun. Well... minus my back pain. Then, everybody came back home and had cake and they played the werewolf game, I could hear it from my room. I believe they had a lot of fun :)

Today, I have to prepare myself for my english oral presentation on Multiple Sclerosis (MS). Actually, the assignment was to find a serious research that is recently done related to my field of study. Believe me, I had a hard time finding one. Then, my friend got me this magazine called MacLean's and she pointed out this article about this controversial new Multiple sclerosis treatment. It's incredible how much I have learned. Not only through some article but also through personnal research, found out what is my role as a nurse toward MS patients. Grosso modo, Zamboni's study found out that his MS patient showed CCSVI (chronic cerebrospinal venous insufficiency) and such blockage «could cause blood to flow back to the brain, resulting in toxic iron deposits that in turn could trigger MS symptoms» The treatment is pretty simple, put a balloon inside the vein so that it can unclogg it. Here the controversy, this is a risky intervention because some patient have died of it or had complications. Besides, doctors asks. Is CCSVI unique to MS? If it is, is it a cause or a consequence of MS? They say that they are not actually treating MS but veinous problem and that people who had the surgery done and showed positive results is a placebo effect. As you may not know, there is no cure to this disease and researching haven't found the cause to it. If this treatment showed positive results and can actually significantly improve MS patient's lives, why not?

Here's my source: Kingston, Anne and Gulli, Cathy. "The Miracle Cure". MacLean’s, 19 April 2010 : 70

Link: http://www2.macleans.ca/category/health-from-the-magazine/

With that being said... this is my oral presentation topic. I also have a math exam on monday wish scares the crap out of me. Another oral presentation on thursday and FINALS. TUN TUN TUN!!!!

... Have a nice day! :)

Wednesday, March 10, 2010

Herry in Psychiatry!

I think I'm starting to get into Psychiatry! It is such an interesting field! and I'm also starting to get the whole idea and the meaning of the relation between the patient and nurse.

Not to mention all those hot doctors. Rawr!

What more can we ask? :D

Sunday, February 28, 2010

Psychiatry

...

School wise, it's been a week already since I started my internship in psychiatry and at first, I seriously thought it would be really bad, but it turned out really interesting! So far so good. However, there is a lot of homework related to it. Not to mention my other courses. And on top of that, I work on weekend. I'm a busy one... :( I feel drained... exhausted. I have a minimal social time... It's hard but I have to get through this! I HAVE TO! Positive thinking! COME ONNNN!

I can't wait for my march ''break'' not a whole week unfortunately... only monday and tuesday... Then... wednesday and thursday, my intership (which should be very illegal on the way) and day off on friday, Hurray.

Hopefully, I have few good friends I can relax with. We're planning to go play bowling or pool on that day. Thank god.

I'm still waiting a reply from the hospital for my externat this summer... It really worries me because all my friend got their letters except me. I called a week ago and they said they just sent it on february 18th and I like so close from the hospitall!! Come on.... I applied for Medecine, pediatry and surgery. I should start working on june 7th! Can't waiit! :D

I also have this job at my brother's clinic. My brother is a denturologist and he needed someone to type in all the patient's information into the computer. He gave me the keys so I can come whenever I want. Which I'm very pleased with it since I'm not avaible on weekdays and I don't really have any obligation. Very flexible and that's perfect. Besides, even though the clinic is far from my house, I don't really mind. I'm kind of tired to work close to my place. Why everything has to be close from me?! Get out of the comfort zone girl!

So for tomorrow... I have crisis situation class, english composition and microbiology lab. I have mondays... Because I always finish at 6 pm. Tuesday wednesday and thursday, I have my internship and friday I have Microbiology and sociology. Talking about sociology, last class... I usually don't skipp Sociology class but that day, I just couldn't handle it anymore. Honestly! I love my teacher's class but I was just wayyy to tired. I followed at the beggining of the class and took good notes and I left right after the 10 minutes break. And instead, I went to work hehe!

I really need a nice, beautiful and long break... Geebus!

Thursday, January 7, 2010

Holidays!

2am here! Finally a break! I passed all my exams! Woohoo. It was so much stress, I can't even believe I made it! I'm startting school on January 25th. 2 more weeks! and My birthday is coming soon! :D Yess yess. I've been spending way too much these days, I am soo broke. But hey, have fun to the fullest!!.

Alrighty, bedtime! Happy holidays and have a happy new year 2010! :)